590. Le fragment le plus récent introuvable — d’avoir été effacé et par l’un des quatre* ? Est à récrire de mémoire : « Le charme est rompu, voici l’impossibilité d’écrire, » plus d’une tentative, voici la dernière d’entre elles, qu’elle soit un échec et c’en est tout d’Encore, de la pièce qui y avait cours, chose comme ancienne déjà ; des phrases s’écrivent obligeant à leur destruction, impossibilité peut-être est-ce façon de parler, existeraient des traces de la destruction qui pussent être exposées et l’être comme telles (disposition en archipel — ou éclatement graphique ; donnant à se figurer le poème, seul en écriture à permettre cet éclatement, seul à ce jour ou alors ce jour est-il étrange, de le permettre ailleurs, comme s’il n’était justifié — contraint, voire — d’être nulle part ailleurs, quelqu’un dirait : voici l’ailleurs, ère nouvelle dans Encore, et montrerait ce dont il parle, appelant plateau cet ailleurs, Note ainsi qu’en la partition ancestrale, mais de quels ancêtres pas eux-mêmes sans ancêtres, issus de l’Homo habilis et antérieurement, quelque part dans la pré-humanité, mais qu’en est-il ici de la pièce, n’est-elle pas en train d’être oubliée, et sans crier gare ? Une gare tenez saurait être l’un de ses décors futurs, d’un cri du dramaturge écrivant, à qui parvient la vision alors qu’en une chambre d’hôtel italienne (Trieste), et dans une survivance d’été, toute fenêtre grande ouverte sur le ciel nocturne,
591. Rien de ce qui a nom d’écriture ici* n’aura lieu — foin d’elle [version effacée] —, pour seule phrase à y évoquer le quelconque d’une matinée d’été dans Trieste, n’y substituant pas même la lecture, l’errance seule dans les parages du théâtre (centre historique), croisant ce passant et l’interpeler oubliant pourquoi, il y avait une question, seule à importer dans le fragment, s’il y a lieu dès lors d’y ajouter, Note :