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Sonates d’Haydn. Ici, il s’agit de faire comme s’il y avait écriture, voire
qu’un écrit précèderait* (d’existence mise en cause, donc) ce qui vient de
lisible — actualités d’Encore ; tant que ne s’obscurcit pas la vue,
phénomène s’étendant inexpliqué, pas le seul à n’être pas sans conséquences sur
ce qui ce joue ici, la pièce rappelée tenez, non qu’inoubliable, le sera,
oubliée et cela dans pas une heure (occupé à rapiécer diverses étoffes
affectées d’usure), quitte à resurgir dans le soir, et se figurer que c’est là
l’obligation même [avoir écrit oubligation puis effacé ce barbarisme]. Comme
s’il y avait écriture — et d’apparaître parfois ce qui y a trait, d’un
hasard, Note : Cela fait
toute une éternité qu’Encore n’a pas été évoqué, ne serait-ce qu’à l’occasion
d’une note, même succincte ; il y est question depuis des semaines de la
pièce, de la pièce sans nom, mais d’Encore — une manière de silence pèse,
d’un poids de plomb pour qualifier ce silence (ou de retrait face à la chose d’importance
que constituerait la pièce, d’importance s’étant ébruitée, et « peut-être
n’est-ce qu’un faux bruit » [traversent ici ces mots d’A. A., et
insistent après plus d’un effacement,