jeudi 3 avril 2025

Encore [64]




620. Sonates d’Haydn. Ici, il s’agit de faire comme s’il y avait écriture, voire qu’un écrit précèderait* (d’existence mise en cause, donc) ce qui vient de lisible — actualités d’Encore ; tant que ne s’obscurcit pas la vue, phénomène s’étendant inexpliqué, pas le seul à n’être pas sans conséquences sur ce qui ce joue ici, la pièce rappelée tenez, non qu’inoubliable, le sera, oubliée et cela dans pas une heure (occupé à rapiécer diverses étoffes affectées d’usure), quitte à resurgir dans le soir, et se figurer que c’est là l’obligation même [avoir écrit oubligation puis effacé ce barbarisme]. Comme s’il y avait écriture — et d’apparaître parfois ce qui y a trait, d’un hasard, Note : Cela fait toute une éternité qu’Encore n’a pas été évoqué, ne serait-ce qu’à l’occasion d’une note, même succincte ; il y est question depuis des semaines de la pièce, de la pièce sans nom, mais d’Encore — une manière de silence pèse, d’un poids de plomb pour qualifier ce silence (ou de retrait face à la chose d’importance que constituerait la pièce, d’importance s’étant ébruitée, et « peut-être n’est-ce qu’un faux bruit » [traversent ici ces mots d’A. A., et insistent après plus d’un effacement,